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« Nouveaux enfants sur le bloc »
« Il est un poèt mais ne le sait pas »

Le rêve de certains d'aller bien à un poèt accompli cependant, Colin J qui habite en Ecosse a constaté qu'est rêver au juste ce qu'il fait ! ! ! Quand il se réveille le matin après un sommeil de la bonne nuit il a besoin immédiatement de stylo et de papier pour noter la poésie qu'il a juste découverte dans son rêve.

Après réalisant lui avait rassemblé tout à fait un certain nombre de prose qu'il a décidé d'éditer son travail sur l'Internet par l'intermédiaire de www.poemhunter.com ici vous trouverez la pleine collection couvrir de divers sujets. Si vous voulez employer une poésie de cet emplacement svp faire votre demande : chippy49uk@yahoo.co.uk

Article par Charles Litster

 

Les arbres lilas

Le planteur il a su quoi faire
Ses doigts verdissent la terre ont taillé
et les fleurs et les plantes ont fait de elle se répandent
Ses arbres lilas se sont développés droits et vrais
Avec le blanc de fleurs et les fleurs bleus
Environ trente années ou plus ont passé
Le planteur allé, sa cendre de corps
Mais, toujours sa mémoire vivant dessus
Dans les arbres lilas, grand et fort.
Jusqu'à une voix au delà du mur
Une voix avec à peine amour du tout
Dits, « coupe ils vers le bas, ils abîment ma vue
Leurs pétales se laissent tomber, leur through de fluage de racines
De la terre concrète, où rien ne s'est développé
Ma mère, seul et bouleversé
Est allé à l'intérieur et s'est reposé et a pleuré
Mais, à cette réclamation n'a pas pu convenir.
Pour tuer les arbres briserait son coeur
Elle s'est vouée de eux qu'elle pas pièce
Irrité, fait taire, mais non modéré
Le voisin a prévu son mouvement mortel
Le poison a versé des racines d'o'er tellement très bien
Tuerait ceux les arbres détestés à temps
Cet acte mauvais et insensible
Effectué derrière son dos
Au printemps aucune fleur n'est apparue
Elle a parfumé le parfum pour chauffer et encourager
Les feuilles ont tourné le brun, les branches tombées
Les arbres eux-mêmes ont semblé vieux et penchés
Les soupirs de l'allégresse à peine étant supprimé
La voix de l'o'er la barrière a plaisanté
'Oh cher, ce qui est arrivé à vos arbres
Ils ne semblent pas bons, vous conviennent
Les ont ont soumis à de la rouille
Si oui, je suis désolé pour votre situation difficile
Une honte, une honte, pour comme vous le savez,
J'ai toujours aimé les voir se développer. '
Colin J…

 

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